À douze ans, Neneh intègre l’école de ballet de l’Opéra de Paris. Persuadée qu’elle est née pour danser, alors que sa mère l’encourageait plutôt à pratiquer le judo, la ballerine en herbe devra toutefois surmonter un handicap majeur: la couleur de sa peau!

Passionnée, Neneh va tout faire pour convaincre de sa légitimité la directrice (Maïwenn) d’une institution tricentenaire encore très peu ouverte à la diversité, arcboutée sur la tradition au point d’être surnommée le «ballet blanc».

Très attachant, le second long-métrage de Ramzi Ben Sliman répond donc à une nécessité, tant sont rares les danseuses non blanches à figurer dans les corps de ballet classique.

Dans la Rome des années 1970, la famille Borghetti est sur le point d’imploser. Les parents ne s’aiment plus, mais demeurent ensemble, histoire de sauver les apparences.

La jeune Adriana assiste, impuissante, au désamour de son père, mais surtout doit faire face à son propre tourment, s’imaginant être la fille d’extraterrestres… 

Avec «L’immensità», le réalisateur de «Respiro» et de «Terraferma» restitue sur le mode de la fiction sa propre histoire de garçon né dans un corps de fille, abordant le thème de l’identité de genre avec une grande subtilité. En mère aimante, mais si malheureuse, Penélope Cruz y est prodigieuse!

De Pasolini à Mel Gibson en passant par Martin Scorsese, que de points de vue différents sur Jésus ! Et pourtant, tout n’a pas été dit. The CHOSEN innove : d’abord c’est une série ; nous projetons la 1e saison ; la suite selon l’intérêt suscité ! Ensuite Jésus est bien sûr présent tout au long de ces épisodes, mais « the chosen » ce n’est pas lui, ce sont Pierre et Jean, Marie et les autres, « les choisis ». Le spectateur est amené à se focaliser sur ces hommes et ces femmes que Jésus emmène avec lui – et si c’était nous ? – sur les chemins poussiéreux de la province romaine de Judée.

Le réalisateur Dallas Jenkins réalise là un travail convaincant, humoristique parfois, touchant.

Chaque séance de 2 épisodes sera suivie d’un temps de discussion.

De Pasolini à Mel Gibson en passant par Martin Scorsese, que de points de vue différents sur Jésus ! Et pourtant, tout n’a pas été dit. The CHOSEN innove : d’abord c’est une série ; nous projetons la 1e saison ; la suite selon l’intérêt suscité ! Ensuite Jésus est bien sûr présent tout au long de ces épisodes, mais « the chosen » ce n’est pas lui, ce sont Pierre et Jean, Marie et les autres, « les choisis ». Le spectateur est amené à se focaliser sur ces hommes et ces femmes que Jésus emmène avec lui – et si c’était nous ? – sur les chemins poussiéreux de la province romaine de Judée.

Le réalisateur Dallas Jenkins réalise là un travail convaincant, humoristique parfois, touchant.

Chaque séance de 2 épisodes sera suivie d’un temps de discussion.

Samedi 4 février à 18h, le film sera suivi d’une discussion avec le réalisateur.

Actuel directeur de TeleBielinge, la chaine de télévision régionale biennoise, Laurent Wyss mène de concert une carrière de cinéaste très intéressante.

Après un premier long-métrage où il racontait sur le mode du thriller l’étrange amitié liant un médecin sans histoire à un tueur à gages, il évoque au plus près du réel un fait divers qui a défrayé la chronique en 2010 à Bienne.

Après la mort de sa mère, Peter-Hans Kneubühl (joué de façon remarquable par l’acteur bernois Manfred Liechti) est sommé de quitter la maison où il s’est occupé d’elle. Criant à l’injustice, l’homme refuse l’expulsion et sombre alors dans la paranoïa…

Vendredi 3 février à 20h, le film sera suivi d’une discussion avec le réalisateur et le chef opérateur du film. 

Âgé de 21 ans, Jorge abandonne son emploi de chauffeur à Lima, pour se rendre dans la cité minière de La Rinconada. 

Ébloui par son rêve de fortune, le jeune homme rallie «la ville la plus proche du ciel», située sur la Cordillère des Andes, à plus de 5000 mètres d’altitude. Il n’agit pas sans appréhension car, au Pérou, l’or est considéré comme propriété du Diable.

Entre documentaire et fiction, le cinéaste italien Matteo Tortone filme sa descente aux enfers dans un noir et blanc sublime, qui renforce la dimension tragique de sa quête d’une vie meilleure… «Le Filon Mère» est une œuvre forte, saluée dans maint festivals internationaux dont Venise. 

Durant la Grande Guerre, 200 000 tirailleurs sénégalais ont été incorporés sous les drapeaux, dont 30 000 y laissèrent leur vie. Avec intelligence et sensibilité, le cinéaste Mathieu Vadepied dévoile cette page d’histoire occultée.

En 1917, au Sénégal, le jeune Thierno (Alassane Diong) est requis de force et envoyé sur le front ardennais. Pour le sauver d’une mort probable, son père, Bakary (Omar Sy) s’engage volontairement.

Par tous les moyens, Bakary s’efforce de s’extirper de cette guerre dont il estime n’être en rien partie prenante, alors que son fils, qui, à la différence de son père, parle le français, se prend à jouer au héros… 

Zoé grandit dans un haras en Normandie et rêve en secret de devenir jockey. Las, la fillette se retrouve paralysée après un accident causé par sa pouliche adorée, effrayée par un orage… 

Avec l’aide aimante de ses parents (Mélanie Laurent et Pio Marmaï) et d’un jeune palefrenier entêté (Kacey Mottet Klein), elle va reprendre les rênes de sa vie et tenter de réussir l’impensable.

Expert en récits initiatiques, tels «Belle et Sébastien» ou «Un sac de billes», le Canadien Christian Duguay nous livre un grand feelgood-movie familial, où résilience n’est pas un vain mot… En selle! 

Mercredi 1er février à 20h, le film sera suivi d’une discussion avec le réalisateur.

Grand Maître de karaté, respecté jusqu’au Japon, Bruno Koller a ouvert l’une des premières écoles du genre en Suisse centrale. Plombier de formation, il a puisé dans cet art martial sa philosophie de vie.

Élève du grand Maître, le cinéaste et journaliste Fabio Biaso apprend en 2009 que son professeur souffre de la maladie d’Alzheimer. Pendant huit ans, il va alors filmer le combat mené par cet être d’exception contre un adversaire hélas invincible.

Lié par une amitié empreinte d’un profond respect, Biaso met en lumière la résistance opiniâtre que le «Sensei» oppose à l’avancée insidieuse du mal, mais aussi des fissures plus intimes…

En 50 avant Jésus-Christ, l’impératrice de Chine est emprisonnée à la suite d’un coup d’état fomenté par le prince félon Deng Tsin Quin. 

Aidée par Graindemaïs, le marchand phénicien, et par sa fidèle guerrière Tat Han, la princesse Fu Yi, fille unique de l’impératrice, s’enfuit en Gaule pour demander de l’aide à Astérix et Obélix.

Toujours dotés d’une force surhumaine grâce à la potion magique, les deux irréductibles Gaulois prennent aussitôt fait et cause pour Fu Yi. Dans le même temps, César, appâté par les richesses de l’Empire du Milieu, se lance à sa conquête… Ils sont fous, ces Romains, comme dirait Obélix!