Fils/Fille de …
Pas facile d’être fils de... fils de roi, fille de chapardeur, fils d’usurier. Voilà trois jours clochants, Pâques oblige, que je torture ma pauvre cervelle enchocolatée pour faire le lien, tracer une parallèle si vous préférez, comme j’aime bien le faire quand c’est possible, entre les trois films qui vous seront présentés ce week-end. Et il y a cinq minutes tout juste (les cinq dernières minutes ça vous rappelle quelque chose ?) que je me suis dit : Bon sang mais c’est bien sûr ! Il est là, le lien, il est sous mes yeux, il est visible à l’oeil de taupe nu... Et si j’avais une seule seconde considéré non pas le bâtiment du Royal mais l’ÀME du Royal au sang si (fleur) bleu(e)... je n’aurais pas tergiversé si longtemps avant de vous dire: le lien entre ces trois films c’est l’AAAAmour bien sûr! Voilà une chose dont à laquelle on cause super cool bien dans notre cinéma préféré ! Quand on n’y parle pas de la terreur de la mort qui tue...
L’amour disais-je... oui, celui d’une femme pour son royal époux (divine Helena!) qui n’hésite pas à braver tous les protocoles pour que son homme puisse enfin accéder à la parole, lui qui vraiment, oui, vraiment, n’était pas fait pour ça !
L’amour d’un père pour ses enfants ensuite, prêt à braver tous les danger pour nourrir sa tribu (mais bon, en y réfléchissant bien, il y en a quand même quelques uns d’entre nous qui marchons sur ses traces à celui-là!).
Et enfin, un amour tout neuf, tout doux, totalement inhabituel, pour cet homme qui va devoir s’échapper des griffes du matériel pour entrer dans le plus pur inconditionnel... Aaaah ! Là où l’enfant paraît, rien n’est plus comme avant! Comme disait une (autre) amie : quand ils sont petits on voudrait les croquer... quand ils grandissent on regrette de ne l’avoir pas fait!
Mais bon, ça reste du cinéma n’est pas ?
Bons films!
Christina